Pouvons nous enfin avoir une vraie discussion ? Sans cri ? [Fédérico]

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Fédérico ferma un instant ses yeux azur pour savourer encore plus ce doux moment qui était entrain de se passer à cet instant même. Et cette voix ... Il pourrait l'écouter jusqu'à la fin de ses jours. Il se rapellait encore du premier jour quand elle était venu habiter dans la demeure et qu'il s'était caché derrière la porte de la cuisine pour l'écouter chantonner un petit air inconnu à ses oreilles. Elle avait tout simplement une voix unique et qui le rendait quelqu'un d'autre ...

Le chef de famille réouvrit par la suite ses yeux océans et s'apprettait à dire quelques mots avant qu'il ne fusse coupé par l'arrivée de Greta. Quesque je vous disais? Leur moment devaient toujours être interrompus ...

- Hum ... Don Freezer?

Fédérico recula alors d'un coup d'un pas et regarda Greta gêné. Même si il savait très bien qu'elle savait tout sur les sentiments dont Florencia et lui se portaient l'un envers l'autre, il n'arriverait jamais à se faire à l'idée qu'elle les surprenne.

- Oui Greta?

- Lorenzo m'as prévenue de vous dire qu'il ne pourra pas aller les enfants. Il y a un problème avec la voiture donc est-ce que vous pourriez vous en charger?

- Ne t'inquiètes pas, j'irais les chercher sans faute ...

Dit-il en souriant. Greta repartit ensuite en s'excusant puis Fédérico reposa une nouvelle fois son regard son la jeune demoiselle à ses côtés.

- Tu veux venir avec moi?

L'arrivée de Greta ne gênait pas la jeune gouvernante, ça l'amusait du tout au tout. Il fallait bien avouer que dans des moments aussi romantiques, on les dérangeait mais si c'était Greta la cause, Florencia ne pourrait jamais le lui en vouloir. Elle l'aimait trop. Alors qu'elle discutait avec Fédérico, d'une main presque cachée devant ses yeux, Florencia essayait de dissimuler le petit rire qu'elle avait.

Citation :: GRETA - Hum... Don Freezer ?
FEDERICO - Oui, Greta ?
GRETA - Lorenzo m'a prévenu de vous dire qu'il ne pourra pas aller chercher les enfants. Il y a un problème avec la voiture donc est-ce que vous pourriez vous en charger ?
FEDERICO - Ne t'inquiètes pas, j'irai les chercher sans faute...

Il avait terminé cette phrase avec un sourire aux lèvres. Florencia eut, tout de même du mal à dissimuler son rire, c'était trop difficile. Les yeux brillants du à son envie soudaine de rire, elle regardait Fédérico avant d'éclater de rire...

FLORENCIA - Que ça fait du bien rire.... Oh mon dieu.... Calme toi Floricienta, calme toi..., disait elle pour elle même, faisant des gestes de main comme pour retrouver un calme en elle.

Ensuite, face à la question du jeune homme, elle posa sa main sur son épaule, en riant à peine.

FLORENCIA - Je te ferai remarquer que je dois chercher la robe de ta femme à 14h00 et les enfants ne sortent qu'à 15h00... Je pourrai te rejoindre devant leur école ? Mais ils essayeront de savoir pourquoi on vient tout les deux les chercher.... Ca fait un peu louche, tu ne trouves pas ? Ou alors, je leur dis simplement, que je n'avais rien à faire et que je me suis proposée pour t'accompagner....

Elle se lançait à nouveau dans un long truc... A force de parler, elle pourrait dire des choses qui revenaient au même et elle ne s'en rendait pas compte, c'est ainsi....

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Quand Greta fut partie, il entendit un éclat de rire qui venait de la femme qu'il aimait. Il haussa doucement un sourcil. Pourquoi est-ce qu'elle se mettait à rire de cette façon-là? Mais Fédérico ne put s'empecher de rire à son tour, d'ailleurs ça faisait bien lontemps qu'il n'avait pas rigolé, ni entendu rigoler Florencia. Et comme elle venait de le dire, ça faisait le plus grand bien.

Par la suite il écouta son grand discours. Il souria amusé parce qu'il était sur qu'elle allait répondre quelque chose de ce genre, mais il avait déjà la réponse tout prête à lui donner. Mais pour la faire arrêter de parler aussi, il la colla une nouvelle fois contre lui et approcha rapidement son visage du sien, étant à quelques centimètres des lèvres de celle-ci.

- Oui, mais je te ferai égallement remarquer, qu'habituellement tu vas avec Lorenzo chercher les enfants alors pourquoi changer tes habitudes? Je peux très bien te déposer à 14h00 et ensuite tu nous rejoints à l'école et on rentre tous ensembles ... Alors, qu'en penses-tu?

Bien sur, quand ils rentreraient, Delfina ainsi que Malala seraient déjà de retour à la maison, mais tanpis ... Comme il avait dis, pourquoi changer les habitudes? Flor s'occupait bien des enfants? Et puis c'était pas non plus de la faute de Fritz si la voiture était tombée en panne ... Il prendrait la sienne et voilà.

[ Je viens de venir de regarder l'épisode 104 ou 105, je ne sais plus sur Floricienta... Envoyer les enfants à l'autre bout du monde - j'exagère - et dire à Flor qu'elle démissionne rien que pour le fait d'avoir fait de la musique avec les enfants... Le méchant Freezer xDD ]

Florencia rigolait de bon cœur. Elle s'amusait follement avec les enfants, elle rigolait tellement qu'elle pleurait tout le temps. Les enfants, eux, sont pliés par terre, recroquevillés, se tordant de rire. Par moment, ils se prenaient des fous rires à ne plus s'en arrêter. Mais le rire faisait tellement de bien et avait le pouvoir d'oublier les soucis que nous ayons...

Alors qu'elle prit son temps pour se calmer, elle se mit à parler, et à parler. Suivi ensuite que le jeune homme vint s'approcher de la jeune femme, posant son front contre le sien. Elle se tut directement. Parce que continuer de parler ainsi, alors qu'il l'hypnotisait avec son doux regard... Elle ne pouvait que se taire.

FEDERICO - Oui, mais je te ferai également remarquer, qu'habituellement tu vas avec Lorenzo chercher les enfants alors pourquoi changer tes habitudes? Je peux très bien te déposer à 14h00 et ensuite tu nous rejoints à l'école et on rentre tous ensembles ... Alors, qu'en penses-tu?

Elle se tapait la main sur le front, se reculant directement de Fédérico..

FLORENCIA - Oh mais que je suis bête. J'oublie à chaque fois que je vais, d'habitude, chercher les enfants avec Lorenzo. C'est entré dans mon quotidien et j'en oublie parfois et même très souvent.

A la fois d'être sosotte et madame je discute sans m'arrêter, elle était aussi tête en l'air, c'est pour dire que tout lui allait à ravir.

FLORENCIA - Donc, nous faisons comme on a dit... Enfin comme tu as dit parce que toi tu as toujours réponse à tout. Enfin, moi aussi mais disons que toi c'est bien mieux que moi, enfin bref... Je ne vais pas rentrer dans les détails.

Elle sourit à Don Freezer. Elle vint sauter dans ses bras, passant ses bras autour de son cou, venant déposer un long et doux baiser sur ses lèvres, peut être le dernier avant longtemps.

FLORENCIA - Je vous adore Don Freezer malgré le têtu que vous êtes.

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Et ça y est, c'était repartis pour tout un discours, je vous jure, parfois il avait bien envie de lui mettre du scotch sur ses lèvres de manière à ce qu'elle arrête déffinitivement de parler. Mais elle avait de la chance que de un, il n'ait pas de quoi lui scotcher les lèvres et de deux qu'il aime entendre sa voix, alors elle était pardonné pour tout.

Peu après avoir eut ses pensées, il n'eut le temps de rien ajouter qu'il sentit Florencia sauter dans ses bras et l'embrasser à pleine bouche. Il adorait quand elle faisait ce genre de choses. Il répondit à ce baiser avec tout l'amour qu'il avait pour elle,htrèbien 'at quelques heures ou même quelques jours ils ne pourraient plus avoir ce genre de moments.

-Oh mais moi aussi je m'adore!

Dit-il en ayant un léger sourire sur ses lèvres. Finallement il déposa un léger baiser sur la pointe du nez de sa princesse avant de la regarder à nouveau.

- Je t'adore aussi Flor. Même si parfois je suis un peu con de m'en prendre à toi et je m'excuse pour tout ce que j'ai put te dire qui t'ai blessé ainsi que les prochaines sotises que je dirai ...

Oh mais moi aussi je m'adore !

Non mais ça va pas de dire ça. C'est à force de penser comme tel que tu penses que tu es supérieur aux autres alors que tu n'es qu'un Fritzenwalden.

Je t'adore aussi Flor. Même si parfois je suis un peu con de m'en prendre à toi et je m'excuse pour tout ce que j'ai put te dire qui t'ai blessé ainsi que les prochaines sotises que je dirai ...

T'en fais pas... Mais, par moment, je prend trop à coeur et je fonds en larmes. Nous savons bien que nous ne faisons pas la comédie, que tout ce qui se passe est dans le vive du sujet et qu'on peut regretter nos gestes ou nos paroles mais je t'avouerai que par moment, j'ai bien envie de prendre une batte de base ball et te frapper avec mais ça reste en tout amitié et amour...

Dit moi, tu as l'heure ? Faudrait pas qu'on soit en retard. Tu dois me déposer chez la teinturière.

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Quand il reçu ce coup sur la tête, il eut un réflexe qui fut de se protéger par la suite. Mais voyant qu'à la place de le tapper encore, elle l'enguelait. Il savait très bien qu'elle le taquinait et il avait dit ses mots pour la taquiner égallement.

Finallement qusnd elle eut fini, il laissa un sourire amusé venir se dessiner sur son visage d'ange, car oui, même s'il pouvait parfois être très froid envers les personne et à premier abord, il avait tout de même un beau petit visage d'ange quand il le voulait et là en ce moment, il l'avait ce qui pouvait faire craquer plus d'une. Mais chuut, ça il fallait garder pour lui. Ba quoi? Il avait tout de même le droit que d'autres femmes le regardent non? Mais ne vous inquietez pas il n'y avait rien en retour, il n'avait d'yeux que pour une personne et elle se trouvait en ce moment même devant lui. Et aucune autre femme ne pourrait la surpasser, elle était bie trop parfaite, même si parfois elle avait cet air têtu, mais c'était ce qu'il aimait.

- Justement et c'est pour ça que je m'excuse ...

Il posa doucement une de ses mains sur les cheveux de sa belle puis la tira doucement contre lui pour qu'il vienne y déposer un baiser sur le front de sa belle. Suite à sa question, il regarda sa montre accrochée à son poignet et regarda l'heure.

-Mhh ... 11h47.

FLORENCIA - Tu en es tout pardonné.

Vous vous souvenez que la jeune femme avait sauté dans les bras de son amoureux. Cette dernière avait enroulé ses jambes autour de sa taille, se tenant bien à lui. Elle avait que de très rares occasion de le faire et elle en profiterait coute que coute de faire des choses tellement inimaginables... Enfin non, mais bref...

Aussi, elle n'était pas du genre à être une femme extrêmement jalouse. L'homme avec qui elle vivra sa vie a bien le droit de regarder d'autres femmes mais à l'interdiction de ne pas les toucher ou même de coucher avec sinon c'est rupture assuré. Fédérico avait du succès auprès des femmes, elle le savait. Sortant rarement avec lui, nous vous parions que tout à l'heure, des femmes le regarderaient quand il sera devant l'école des enfants pour les ramener chez eux.

Floricienta ne supportait pas la tromperie. Si l'homme qui vit à ses cotés l'a trompé et qu'il a du cran de le lui avouer, elle le pardonnerait peut être, s'il ne l'a pas fait avec sa meilleure amie, évidemment. Mais s'il le faisait et qu'il n'osait même pas le lui avouer, elle partirait sans donner d'explication et sans donner de chance.

C'est encore une des choses qu'elle ne pouvait pas supporter d'en plus le mensonge.

FLORENCIA - Dit moi, tu as l'heure ? Faudrait pas qu'on soit en retard. Tu dois me déposer chez la teinturière.
FEDERICO - Mhh... 11h47.
FLORENCIA - Seulement 11h47... Tu proposes quoi pour passer le temps ?

Bon, peut être qu'il devrait retourner travailler, alors elle, elle s'occuperait avec Greta... Ceci dit, elle descendit de l'étreinte du jeune homme, elle pouvait commencer à peser lourd..

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Mais je vous rapelles qu'il trompe une femme avec une autre. Car Florencia était un peu comme son amante, même si au fond de lui, elle était bien plus à ses yeux qu'une simplke amante. Et puis, il serait incapable de la trahir avec une quelconque autre femme. Même maintenant quand il devait passer des moments seuls avec la jeune Torres, il esseyait à chaque fois d'esquiver à un baiser ou à des simles gestes qui pourraient aller trop loin parfois. Bien sur, de temps en temps il était bien obligé de lui donner un baiser par-ci un baiser par-là, si non ça ferait un peu louche. Mais à chaque fois ses pensées allaient tout de suite vers Flor et personne d'autre, donc vou pouvez très bien vous imaginer à quel point il tenait à la jeune femme.

Même si elle venait de descendre de ses bras, il continua de la serer fortement contre lui, ayant ses bras enroulés autour de la taille de celle-ci.

- Je devrais peut-être me mettre une petite heure au travail et après on mangera un petit quelque chose et je te déposerais chez la teinturière. Ca te vas comme plan à suivre?

Sa belle hoche positivement la tête tout en continuant d'avoir ce sourire sur ses lèvres. Ce sourire qu'il aimait tant voir.

Voyant que celle-ci s'appretait à partir, il la retint par le bras, la collant pour la égnième fois de la journée à lui puis par la même occasion il colla ses lèvres aux siennes de manière à avoir un ultime baiser pour la journée, car leur prochaine petite escapade, il ne saurait pas quand elle serait possible de la faire, alors autant profiter de ses derniers moments. Finallement, il finit par décoller ses lèvres des siennes, puis avant de partir s'enfermer à nouveau dans son bureau, il approcha ses lèvres de l'oreille de la demoiselle et susura quelques mots.

-Moi aussi je t'aime ...

Et voilà, son tout premier ''Je t'aime''. Il avait enfin réussi à la faire dire. pourquoi avoir changé si vite d'avis? Tout simplement car il avait peur que quelque chose ne puisse arriver et que jamais il n'ait pu lui prononcer ses mots. La vie peut parfois être courte ... Finallement, il repris son chemin vers la villa après avoir fait un léger clin d'oeil suivit d'un sourire à sa princesse.

[ Arrête xD Je suis en train d'en faire pour toi ^^'. Tu les auras demain ou ce soir hihi ]

La jeune femme ne reprochait en rien ce que faisait Fédérico car depuis qu'elle commençait à travailler pour eux, il était déjà avec Delfina. Mais, disons que c'est la faute de la jeune gouvernante que Fédérico est tombé amoureux d'elle pas qu'elle en soit la cause, surement pas.... La jeune demoiselle avait, au début, mal au coeur pour Delfina, car elle ne voulait qu'elle puisse souffrir mais depuis qu'elle sait que Delfina ne veut épouser Fédérico seulement pour empocher son argent, depuis ce jour, elle se fiche bien de lui faire du mal car jusqu'à maintenant, elle lui en faisait à elle. Tout ce qu'elle faisait aux enfants, aux proches de la famille, atteignirent le coeur de la jeune Floricienta et elle ne peut pas en supporter.

Pourquoi ne pas le dire à Fédérico ? Car, ce dernier voudra prendre la défense de Delfina pour ou contre son gré. C'est ainsi. Elle peut parfois trouvé cela injuste mais s'il n'était pas amoureux d'elle, il l'aurait fait de toute manière. Entre nous, si Delfina était dans les parages, il se devait se montrer odieux envers Floricienta et les autres. Rassurez vous, Fédérico a bien le pouvoir sur Delfina mais on ne sait jamais. Si elle venait à sortir ses griffes de mammouth..., il ne serait plus de ce monde mais pensons pas au pire ce qui pouvait arriver.

Elle s'était retirée des bras du jeune homme, voulant tout de même le laisser respirer. Elle ne se voulait pas être aussi pot de colle, bien au contraire. Mais, elle restait tout de même dans ses bras, les bras du jeune homme entouré autour de la taille de la jolie brune.

FEDERICO - Je devrais peut-être me mettre une petite heure au travail et après on mangera un petit quelque chose et je te déposerais chez la teinturière. Ça te vas comme plan à suivre ?

Faisant mine de réfléchir pendant de longues secondes, elle voulait un peu le taquiner le temps qu'elle pouvait mais ensuite elle vint lui répondre avec son sourire d'ange illuminé.

FLORENCIA - C'est parfait. Tout ça me convient et puis je n'ai pas le choix., lançait elle en ayant un petit rire amusé.

Etant donné qu'ils s'étaient " organisé ", elle n'allait pas attendre plus longtemps et retourner en cuisine afin de passer du temps avec Greta, une charmante femme d'origine allemande. C'est alors qu'il vint la retenir par le bras, cette dernière s'étant étonnée de son geste. Il vint alors coller ses lèvres aux siennes, ainsi avoir un dernier baiser de la journée ou même de quelques temps... Elle prolongeait volontiers avec tout l'amour qu'elle pouvait lui porter. Finalement, ils cessèrent de s'embrasser... Il s'approchait alors de l'oreille de la jeune Florencia et vint prononcer les deux mots qu'elle ne pensait pas avoir avant longtemps... Les larmes lui montèrent aux yeux, elle fut heureuse et l'exprima en lui donnant un tout tout dernier baiser. Ce fut ensuite qu'ils retournèrent à la villa, Florencia partant rejoindre Greta.

Se dirigeant à toute hâte à la cuisine, elle tournait en rond, l'air rêveur, finissant par s'adosser au comptoir de la cuisine.

FLORENCIA - Parfois, il m'étonnera mais il est tellement adorable... Je l'adore

Elle sortit de sa torpeur et s'apercevit qu'elle était toute seule, elle s'est prise la honte...