Pouvons nous enfin avoir une vraie discussion ? Sans cri ? [Fédérico]

« Parce que chaque fois qu'on se touche j'ai ce sentiment
Et chaque fois que l'on s'embrasse je jure que je vole
Ne peux tu pas sentir mon coeur battre rapidement
Je veux cela pour toujours
J'ai besoin de toi à mes côtés
Parce que chaque fois qu'on se touche je sens la statique
Et chaque fois que l'on s'embrasse j'atteints le ciel
Ne peux-tu pas entendre mon coeur ainsi
Je ne peux pas te laisser partir
Je te veux dans ma vie.»

SONG - QUOTE = Cascada _ Everytime we touch

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Pouvons nous enfin avoir une vraie discussion ? Sans cri ? [Fédérico] 02-11b75f1

CHACHA.

Don Freezer...

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A vrai dire, depuis quelques mois, Fédérico avait envie de crier une bonne fois pur toutes. Pourquoi donc? C'était simple, il avait l'éco des voix des personnes qui se trouvaient dans cette dmeure qui n'arrêtaient pas d'appeller par son prénom pour un petit rien et bien sur, vous auriez une douleur de tête insurpotable lorsqu'on arrête pas d'entendre ce genre de choses continuellement dans vos pensées. Mais bon, il dvait faire avec malheureusement.

Ce fut seulement vers les sept heures et quart que le jeune homme se réveilla avec les premiers rayons de soleil. Il ouvrit légèrement les yeux mais les referma tout de suite à cause de cette lumière aveuglante. La première pensée qu'il eut ce fut: ''Encore une dure journée de travail '' mais par la suite, il repensa à une jeune femme avec de beaux cheveux bruns qui retombaient en cascade le long de ses épaules et avec de magnifiques yeux marrons. Bien sur, vous devez vous dire que c'était sans doute sa fiancée Delfina mais vous vous trompez complètement. C'était bel et bien une autre belle jeune femme dont il avait dans ses pensées depuis maintenant quelques mois. Il souria doucement face à cette pensée mais ce sourire s'éffaça d'un coup lorsqu'il entendit le son de la sonnerie de son portable. C'était encore un de ses hommes barbants pour son travail.

Après avoir raccroché, il alla s'habiller naturellement pour une fois car neuf fois sur dix ont avait le droit de le voir en costard cravate, chose qu'il commençait à en avaoit légèrement marre. Il descendit ensuite de l'étage ou il se trouvait et alla en direction d son bureau sans même se mettre quelque chose sous la dent. Mais connaissant Greta, une deusième mère pour lui, elle n'allait pas tarder à lui apporter un petit quelque chose. Il se mis ensuite au travail comme à son habitude, se replongeant dans ses pensées.

Ce fut après de longues minutes ou presque une heure, qu'il fut sorti à nouveau de se spensées par la merveilleuse voix d'une jeune femme. Il leva doucement son regard azur de sa paperasse et le reposa sur la nouvelle gouvernante de la maison. Federico fit un tête exaspéré, laissant un petit soupir sortir de sa bouche.

-Flor, combien de fois devrais-je te dire de ne pas m'appeller ainsi?

-Flor, combien de fois devrais-je te dire de ne pas m'appeller ainsi?

- Excuse moi. C'est une habitude, juste une habitude...je...,

- Tu... tu t'es disputé avec l'autre enfin avec ta fiancée ? Si je peux dire fiancée parce que, vraiment, elle a tout d'une femme hypocrite. Elle dit des choses qu'elle ignore et persiste à y croire. Elle, à force de mentir, bah elle atterrira au bord du gouffre, ainsi que sa mère, qui sera ta belle mère et ce sera bien fait pour elle...

- Oubliez mes propos. Oubliez les...

- Euh.. Voulez vous...veux tu une tasse de café et quelques bons croissants tout chaud ?...

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Ah ça pour une habitude elle l'avait. A vrai dire, depuis qu'elle se trouvait dans cette maison, elle ne l'avait entendu l'appeller que par son prénom que ... Deux malheureuses fois, si non les autres fois c'était ce surnom ridicule. D'ailleurs elle avait surement du avoir appris avec Greta, parce qu'elle aussi avait tendance à l'appeller ainsi. M'enfin, on allait pas non plus s'éterniser sur le sujet d'un simple surmon non?

Il écouta par la suite la jeune femme parler de sa fiancée ainsi que de sa future belle-mère. Son rgard se changea en un regard sévére presque noir pour bien faire comprendre à Flor qu'elle allait un peu loin. Enfin ... D'un côté elle avait raison, Delfina était quelqu'un d'hypocrite, mais que voulez-vous, il se sentait incapable de la laisser et puis, il avait promis à son père qu'un jour un prochain héritier prendrait possession de l'entreprise.

-Il vaudrait mieux ... Mais pour que tu ais la conscience tranquille, non je ne me suis pas disputé avec Delfina. D'ailleurs en parlant d'elle, elle m'a demandé de te dire pour que tu ailles chercher sa robe de mariée aujourd'hui à 14h00.

La beau brun se laissa ensuite retomber en arrière sur son siège puis desséra un bouton de sa chemise blanche pour pouvoir se sentir un peu plus à l'aise. Quesqu'il donnerais pour avoir ne serait-ce qu'un seul jour de répis.

-Non merci ... J'ai pas très faim à vrai dire.

Il vaudrait mieux ... Mais pour que tu ais la conscience tranquille, non je ne me suis pas disputé avec Delfina.

Il ne s'est pas disputé avec Delfina, la grosse mégère... Quand est ce qu'ils auront une vraie dispute qui mettra un terme à leur relation ? Jamais ou quoi ? Elle savait déjà qu'ils n'étaient pas le couple parfait, alors si leur relation continuait... Mais, à vrai dire, elle ne savait plus comment elle devait réagir avec Fédérico. Il savait qu'elle était tombée amoureuse de lui dès le premier regard et elle savait aussi qu'il ressentait la même chose envers elle mais elle ne comprenait pas la raison qui était qu'il ne voulait pas voir la réalité en face des trous. Son meilleur ami, Matthias avait tenté de le lui dire et les enfants faisaient tout pour rendre la vie impossible à ses deux mauvaises personnes mais rien n'y fait, il était toujours aussi têtu...

D'ailleurs en parlant d'elle, elle m'a demandé de te dire pour que tu ailles chercher sa robe de mariée aujourd'hui à 14h00.

Chercher sa robe de mariée à 14h00 ? Non mais elle ne prenait pour qui ? Elle n'était pas la femme de Don Freezer, et oser dire à ce dernier qu'il devait lui rapporter qu'elle devait chercher une stupide robe de mariage... Elle avait peur de le lui dire en face ?

- Dites lui, à votre femme, que je ne suis pas sa bonne. Elle n'a qu'à aller le chercher elle-même ou envoyer sa mère, je ne sais pas moi. Je vous vois venir vous avec votre regard d'homme désemparé, n'essayez même pas de trouver une excuse, ça ne prend pas avec moi. C'est fini. Les courses pour elle, c'est terminé. Elle me rend assez la vie dure avec tout ses sarcasmes.

Lâcha-t-elle tout dans le vent, énervé, s'étant levé face à ce propos, se postant en face de lui. Sans présence de Fédérico, Delfina traitait Florencia comme une simple servante qui avait que ça à faire pour occuper ses journées. Flor est une personne comme les autres et par conséquent, avait tout les droits qui lui revenait. Tentant de se calmer, elle posait ses deux mains sur ses hanches, puis sa main droite se posa sur son front.

- Vous devez manger. Ce n'est pas bien de ne pas se remplir le ventre. Après, vous serez en baisse d'énergie et ce n'est pas bon pour votre santé. Mais, je dis ça pour votre bien, hein...

disait-elle franchement.

- Pensez aussi un peu à vous. Vous êtes blanc comme un linge. Vous avez des cernes énormes, enfin j'exagère mais, tentez de prendre une journée loin de la maison... Pleins de personnes pourraient s'en occuper, dont moi...

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En écoutant les propos qu'elle venait de dire sur Delfina, Fédérico soupira une bonne fois pour toutes. Mais ce n'était pas le genre de soupirs qui s'oubliaient de suite, non, c'était un très long et profond soupire qui voulait bien faire comprendre à la jeune femme qu'elle allait, encore une fois, trop loin. Il savait que depuis le début, personne n'aimait Delfina ni Malala, mais ils devraient s'y faire car tôt ou tard, elle deviendrait sa femme et Malala sa belle-mère.

-Flor! Je te le demande, par pitée, d'aller me chercher cette foutue robe! J'ai pas envie de l'entendre plaindre ce soir parce que tu n'as pas voulu le faire. Alors au moins, fais-le pour moi, je t'en sulplie!

Dit-il en posant ses coudes sur son bureau puis il laissa sa tête partir en avant, ses mains la rattrapant. Quesqu'il pouvait en avoir marre de ce genre de choses. Tout ce qu'il voulait c'était avoir la même vie qu'avant, ou aucan problème ne venait tapper à la porte et ou tout le monde avait un grand sourire aux lèvres. Mais malheureusement, il savait très bien que cette vie-là ne pourrait plus revenir.

-Je peux pas. Je sais très bien que tu serais capable de gérer la maison mais ... J'ai du boulot qui m'attends et je peux pas me permettre de le laisser de côté une seule journée.

Il releva doucement son visage vers la jeune brunette puis un petit sourire vint se dessiner sur celui-ci. Voilà de qui il était tombé réellement amoureux ... D'une jeune femme qui le comprenait et qui ne s'inquiétait pas seulement d'elle, mais surtout des autres. Et quesqu'il avait une envie folle de la prendre dans ses bras en ce moment même.

FEDERICO - Flor! Je te le demande, par pitée, d'aller me chercher cette foutue robe! J'ai pas envie de l'entendre plaindre ce soir parce que tu n'as pas voulu le faire. Alors au moins, fais-le pour moi, je t'en supplie!

* Il fait peine à voir, le pauvre. Le faire pour lui... Mais qu'est ce que... Il a bien de la chance que je sois conciliente... *

Florencia avait laissé un silence, rien que pour entendre et ré entendre les propos qu'il venait de prononcer.... Il était vraiment à bout de force, le pauvre... Gérer toute une maison et toute une grande famille qui manquait parfois d"éducation... Il aurait déjà l'expérience pour savoir comment bien éduquer un enfant, il ne doit pas s'en plaindre....

Bon, très bien, Fédérico, d'accord. Tu as bien de la chance d'avoir une gouvernante aussi complréhensive parce que peu de personnes pourrait chercher des choses pour l'autre perche....

finissait-elle par dire... Et elle venait de recommencer à dire du mal d'elle. C'était plus fort qu'elle, elle n'y pouvait absolument rien. J'irai lui chercher sa fiche robe.

Elle finit par lui esquisser un petit sourire... Elle venait de l'appeler par son prénom et non par ce stupide surnom. Elle venait de le tutoyer aussi... Un grand exploit ? Non, pas tant que ça, car oui, elle changeait souvent de ton de voix, soit elle le vouvoyait soit le tutoyait. Une habitude qu'elle avait finit par prendre. Aussi, elle ne savait pas dans quelle situation elle pourrait le tutoyer... Mais, quand ils parlent ensemble de leurs sentiments, elle oublie le surnom et le vouvoiement....

Elle se leva et fit quelques pas qui l'emmena vers son bureau. Une petite place s'y trouvait et elle s'y installa dessus. Là, elle se trouvait vraiment face à lui. Elle fut prise d'une hésitation et se lança après quelques instants... Elle finit par déposer une main amicale sur son épaule...

Prend quelques heures... Même une seule petite heure pourrait te faire du bien sans les cris des enfants qui se chamaillent pour des broutilles. De Delfina qui fait une scène pour une robe ou parce que les préparatifs de son mariage sont totalement grotesque et j'en passe....,

lança-t-elle sous un ton détaché.

Pense à toi, je t'en prie... Je ne veux pas qu'on m'apprenne un jour que tu es hospitalisé à cause de toute la pression que tu as sous tes épaules....,

reprit-elle plus calmement...

Elle se souciait beaucoup de lui. Par moment, elle ne le montrait pas.... Seule quelques personnes savaient qu'elle avait des sentiments amoureux envers ce jeune homme. D'autres pouvaient s'en douter... Elle faisait ça que pour lui...

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En entendant qu'elle allait chercher sa robe, Fédérico ne put s'empecher de laisser un petit soupir de soulagement sortir de sa bouche. Bien qu'elle avait recommencé à dire quelque chose de mal envers Delfina, il ne parla pas de ça, préférant oublier et surtout, il avait pas envie qu'une nouvelle dispute écclate à nouveau comme à chaque fois qu'ils parlaient et bien sur, la cause était encore et toujours Delfina. Mais que voulez-vous? Il était bien trop naif pour croire les propros de Flor et des autres personnes u'ils avait autour de lui. Il voulait croire à tout prix que Delfina et Malala étaient des gens formidable et qui ne pouvaient pas faire de mal à une mouche. Mais voilà, il ne trompait beaucoup et il voyait très bien le mal qu'elles pouvaient faire aux personnes à qui il tenait. Mais à chaque fois il était trop faible et laisser passer leur commentaires sans rien dire, mettant ensuite la faute sur les autres or qu'ils n'avaient rien fait.

-Je le sais Flor ... Je le sais ...

Il prit ensuite le main de la jeune femme qui se trouvait sur son épaule et la serra doucement, la caressant ensuite avec l'aide de son pouce. ll releva ensuite doucement son regard à nouveau vers elle, plongeant ensuite celui-ci dans les yeux marrons de Flor.

-Ne t'inquiètes pas, rien ne m'arriveras. Je suis un costaud quand même!

Dit-il en faisant un léger sourire amusé, même si l'envie n'était pas là.

Soupirs et encore des soupirs. Il ne savait faire que ça. Faut avouer que par moment, elle aurait bien envie de dire une chose comme : " Mais arrêtez de soupirs bon sang de bon soir. Vous ne savez faire que ça ? Il n'y a que ça qui sort de votre bouche ? ". Elle n'allait pas se le permettre... Surtout pas... Mais, elle lui était reconnaissant. Grâce à lui, elle n'aurait pas connu ce qu'elle connaissait en ce moment. Elle avait rencontré une famille formidable ( excepté qui vous savez ), avec de magnifiques enfants et un grand frère qui prenait son rôle très à coeur. Les enfants, les plus petits, elle les considérait comme ses propres enfants, difficile à s'imaginer, je l'avoue. Ils sont tellement attachant et trouvent toujours des mots pour pouvoir la rassurer. La simple idée de s'en aller d'ici ne pouvait pas lui arriver à l'esprit. Ils étaient bien trop importants à ses yeux et les porterait à jamais dans son coeur. La seule personne qu'elle aime vraiment dans la famille Torres-Santillan fut Sofia. Elle n'est pas du tout comme sa soeur et sa mère. Elle est tout le contraire. Elle dit la vérité, dit ce qu'elle pense de ce qu'elle voit. Elle n'hésite pas à aider ceux qui en ont besoin. Florencia estime qu'elle mérite mieux que d'avoir une mère aussi ignoble qui la traite comme une moins que rien. Mais revenons en à notre histoire.

Sa main était posée sur l'épaule du jeune homme. Il y a quelques minutes, elle avait eu quelques réticences face à ce geste mais elle l'a tout de même fait.... Cependant, elle ne s'attendait pas à ce qu'il vienne serrer avec une douceur sa pauvre main et de la caresser avec son pouce. Elle avait voulu retirer sa main. Elle ne souhaitait pas qu'on vienne les surprendre. Imaginer que Delfina ou une personne ignoble vienne découvrir ce qu'ils faisaient ? Même s'ils ne faisaient rien de mal, ce n'était pas un comportement approprié pour un patron envers sa gouvernante... Le laissant faire, elle ne le lâchait plus du retard...

Certainement. Je ne le cache pas mais prend une heure, maximum deux heures pour toi. Laisse la maison sous la surveillance de moi, Greta, Antoine et Matthias. A nous quatre on saura quoi faire.

Elle n'allait pas lâché le morceau mais elle sentait qu'il n'allait pas aussi bien qu'il pouvait le prétendre. Comme je l'ai dit plus haut, elle se souciait énormément de lui et de sa famille. Savoir qu'il puisse leur arriver quoique ce soit, elle ne se le pardonnerait jamais.

Fédérico... Réponds moi simplement... Regarde moi dans mes yeux et dit moi si tout va bien pour toi.... Si tu me réponds d'une réponse positive, je lâcherai l'affaire mais je veux savoir si tu vas vraiment bien malgré que tu sois fatigué...

S'il venait à lui mentir alors qu'elle sentait qu'il n'allait vraiment pas, elle quitterait la pièce sur le champ, certainement remontée contre lui. Aussi dit, elle ne supportait pas qu'on vienne lui confirmer des propos mensongères sauf si il en valait vraiment la peine....

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Il aurait bien aimé lui dire oui, mais c'était tout simplement impossible. S'il n'avait pas tout ce travail, il aurait encore put s'accorder quelques heures pour lui, mais malheureusement, il avait promis à ses parents d'en prendre grand soin et c'était ce qu'il faisait à cet instant. Même si ça le fatiguait plus que tout, il ne pouvait pas laisser tomber l'entreprise familiale. A vrai dire, les seuls vrai moment de répis qu'il pouvait avoir, c'était quand il se trouvait dans son lit. Et encore, car parfois, Delfina venait lui remplir le cerveau avec ses conneries tout droit sorties de je ne sais ou et elle pouvait lui parler presque tout la nuit de ça. M'enfin bref, on va pas non plus s'éterniser sur ce sujet-là ...

Face aux dernières paroles de la jeune femme, le jeune homme baissa doucement la tête. Il aurait voulu lui mentir, lui dire que tout allait très bien et qu'il arrivait à tout gérer, mais c'était impossible. Il n'arriverait jamais à mentir à Florencia quand elle le regardait de cette façon-là. Et même quand elle ne prennait pas ce regard-là, il arrivait tout de même à craquer.

- Je l'avoue. Je suis fatigué de tout ça. Fatigué du fait que je travaille d'arrache pied pour l'entreprise. Fatigué que les enfants crient sans cesse pour n'importe quoi. Fatigué de cette histoire de mariage. Voilà ... Tu voulais le savoir, alors maintenant tu le sais. Mais ca va aller, j'ai bien réussi à tenir jusqu'à maintenant, je peux bien coninuer sur la même voie ...

Il joua doucement avec les doigts de la jeune femme puis sans s'en rendre réellement compte, l entrelaça leur doigts, les regardant avec la plus grande tendresse du monde.

-Mais il est hors de question que je prenne quelques heures pour moi. Surtout en ce moment ou je suis en plein sur une affaire importante.

Florencia était soulagée. Il ne lui avait pas menti et avait dit ce qu'il avait sur le coeur. Elle se doutait qu'il était mort de fatigue, qu'il ne rêvait que d'une seule chose : penser à lui. Elle le comprenait aussi. Les enfants étaient doués pour rendre les adultes dans un état incroyable. Ils ne pensaient pas que les adultes avaient besoin de calme pour faire quelque chose d'important. Florencia leur parlait, prenait le temps de leur expliquer et ils écoutent mais après quelques heures c'est reparti avec les cris, un cherchant l'autre... Une question d'habitude....

Je te le dis, à force, tu vas te rendre malade et il n'y a pas que moi qui le dit... Il y a Matthias, Martin, Tina, Franco... Les enfants ne s'en rendent pas tellement compte... Ils sont petits...

Elle sentait qu'il venait d'entrelacer leurs doigts... Il voulait jouer à quel jeu ? Et si on les surprenait ? Il n'y pensait pas ? Elle ne voulait pas que ça retombe encore une fois sur elle alors qu'elle n'y était pour rien cette fois ci mais elle appréciait d'avoir un moment pour elle et pour lui, qu'ils soient ensemble et qu'ils ne se disputent pas pour différentes choses. Puis, elle décida de prendre les choses en main. Elle retira sa main de la sienne tout en douceur. Elle se leva du bureau puis elle prit les deux mains du jeune homme et le leva...

Mon dieu, que t'es lourd. Faudrait que tu penses à perdre du poids même si tu as une très jolie silhouette.,

s'exclama t-elle en lâchant un petit rire et le fit partir de sa place.

Elle prit place à son bureau, regardant les dossiers et autres matériaux qui s'y trouvaient.

Bon, dit moi ce que je peux faire pour t'aider un maximum pour que tu puisses prendre quelques heures. Je te préviens je ferai tout pour que tu ais tes heures de repos.

Fédérico la regardait étrangement; la prenant vraiment pour une folle... Il allait certainement la retirer de la chaise avec une facilité... Elle n'aurait tout simplement aucune chance mais elle essaye et tente le tout pour le tout. Relevant le regard sur ce dernier, elle lui sourit.

Oh, stressez pas Don Freezer, je ne vais pas tout saccager. Mais, dites moi ce que je peux faire et je le fais sans hésiter.

Elle n'allait pas lâcher prise d'autant plus qu'elle venait de l'appeler par son surnom et qu'elle venait de le vouvoyer... Incorrigible cette Flor.

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En la voyant se relever, il ne put s'empecher d'hausser un sourcil puis il n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit, qu'elle venait de le lever et de prendre sa place. Il coninua à la regarder toujours aussi étrangement avant d'écouter ce qu'elle avait à dire. QUOI?! Le remplacer?! Mais elle allait pas bien oui? D'abord, elle serait incapable de comprendre le sujet et deusièmement, il n'arriverait jamais à lui expliquer et même s'il le ferait, il perdrait un temps fou à le faire. Fédérico n'eut d'autre choix que de se rapprocher à nouveau d'elle et de lui prendre doucement par le bras pour la soulever de son siège. Quand ce fut fait, il se posta devant elle et la regarda à nouveau dans les yeux, prononçant ensuite quelques mots.

-C'est hors de question!

Il repris à nouveau sa place. Sachant très bien qu'elle n'allait pas tarder à répliquer, il mis son index vers le haut puis laissa sa tête partir légèrement vers la gauche.

-Et c'est mon dernier mot!

Voilà comment il pouvait passer très vite du stade ''doux'' au stade '' je m'enfoutiste''. Mais que voulez-vous? Elle lui tirait par les épinles aussi avec ses changements de nom ou vous de le vouvoyer alors qu'il y a quelques secondes elle le tutoyait. Il se tourna ensuite vers son ordinateur portable et écrivit quelques mots avant de s'arrêter et de se tourner à nouveau vers la jeune femme.

- Au faite, tu voulais me dire quelque chose?

Car bon, avec tout ça, il ne savait pas encore pourquoi elle se trouvait dans son bureau.

Ah non non non, je ne voulais rien dire du tout... Bah non, j'ignorais même que vous seriez dans votre bureau alors voilà... J'avoue que je pensais que vous y seriez et vous y êtes mais non non, je ne voulais rien vous dire, rien du tout...

Tu es complètement idiote, Floricienta,

se disait-elle à elle même...

Je... je vais te laisser vaguer à tes occupations...

murmurait-elle, faisant en sorte qu'il puisse l'entendre...

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Pendant qu'elle disait ses premières paroles, il hocha la tête. Si elle était tellement sure d'elle sur le fait qu'elle ne voulait rien lui dire, alors tanpis. Il replongea son regard dans toute sa paperasse dont il devait faire pour aujourd'hui et je peux vous dire que ce n'était pas peu, oh ca non. Il en avait encore pour des bonnes heures devant lui à son plus grand malheur. Bien sur, c'était pas le métier de ses rêves et c'était pas non plus la vie dont il avait souhaité avoir, mais c'était mieu que rien. Vous savez vraiment ce qu'il aurait souhaité comme vie? Pouvoir rentrer le soir chez lui et retrouver sa femme ainsi que ses enfants qui l'attendaient. Pouvoir fêter ensuite les fêtes d'anniversaires ou d'autres fêtes comme Oel par exemple avec toute la famille au complet. pouvoir avoir l'amour de quelqu'un et surtout qu'il puisse donner cet amour en retour, car pour vous dire la vérité, il n'était pas et ne serait jamais amoureux de Delfina. Oui, elle était une jeune femme magnifique, il n'allait pas l nier, mais c'était pas la beauté qui comptait, mais l'intérieur de la personne. Comme Florencia ...

Fédérico seccoua légèrement la tête pour chasser ses pensées jusqu'à ce qu'il entende la jeune femme murmurer quelques mots. Il la regarda attentivement pendant de longues secondes avant de voir quelques larmes couler le long de ses joues légèrement rougies. Quesqu'elle avait? Inquiet, il haussa pour la égnième fois de la journée un de ses sourcils puis se leva de sa chaise avant de poser sa main sur celle de Flor ou elle tenait la poignée de lporte. Il la poussa doucement, de manière à ce quecette porte là se referme à nouveau. Le beau brun se tourna ensuite vers la jeune gouvernatnte, posant son doigt sous le menton de celle-ci de manière à ce qu'elle lève son regard vers le sien.

- Quesqu'y se passe Flor?

Ca y est, le Féférico, mode ''doux'' était de nouveau revenu. Plus doux encore qu'un agneau.

Je t'en prie, Fédérico, laisse moi tranquille..., prononçait-elle à peine alors que ses larmes ne cessaient de couler. Elle ne pouvait plus garder tout ça pour elle sans rien dire à personne

Tu sais, j'ai surpris une conversation entre Tina et mon oncle, Carlos. Il lui disait qu'il ne pouvait pas garder quelque chose d'une telle importance pour lui, j'ai voulu partir mais mes pieds ne voulaient pas décoller du sol... C'est à cet instant qu'il...que... Tina lui a dit que je devais savoir que Eduardo n'était pas mon vrai père

Tu te rends compte ? Mon propre oncle qui m'a menti et surtout mon pè... Eduardo qui n'a même pas voulu me dire la vérité.. Je ne sais plus quelles sont mes origines... Je ne sais plus d'où je viens, je... je ... je suis perdue... complètement perdue...

déclara-t-elle au bord de la crise des larmes

Tu sais... C'est en m'occupant de la maison, des enfants, que je me sens revivre légèrement mais pas totalement.... Ils m'occupent l'esprit en se disputant pour des petites broutilles, pour des choses totalement et complètement stupides.... Je pense que sans eux, je n'aurai jamais tenu le coup

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En la voyant glisser contre le mur, il pensa à premier coup, qu'elle faisait un malaise ou quelque chose de ce genre. Mais finallement il remarqua qu'elle se laissait seulement aller contre celui-ci. Il l'écouta ensuite et ce qu'elle venait de dire l'étonna. Comment ça Eduardo n'était pas son père? Ca voulait dire que Tina savait qui était le vrai père de Flor? Elle ne pouvait tout de même pas rester sans savoir la vérité et surtout ses origines, c'était tout de même important pour une personne de savoir tout celà.

- Mais ... Je ...

Il passa une main dans ses cheveux bruns, ne sachant quoi faire et surtout quoi dire das une situation pareille. Finallement, il se pencha doucement en avant et passa un de ses bras sous les jambes de la belle brunette et l'autre autour de sa taille pour la porter tel une princesse. Tanpis si quelqu'un les surprenait, mais il ne voulait pas la laisser ainsi. Il s'approcha ensuite de son canapé blanc, et la reposa délicatement dessus, s'asseiant ensuite aux côté de la jeune femme.

- Je suis vraiment désolé Flor. Mais je pense que tu devrais sérieusement parler avec Tina. Après tout, elle doit savoir quelque chose et tu pourras sans doute retrouver ton vrai père ...Mais il ne faut surtout pas déséspérer et baisser les bras, au contraire, il faut que tu luttes pour savoir la vérité, si c'est ce que tu souhaites bien sur.

Il passa ensuite une de ses mains sur la joue de Florencia et avec son pouce, il enleva les quelques larmes qui avaient coulés, même si d'autres revenaient par derrière.

-Mais j'ai pas envie de te voir comme ça tu m'entends? Tu es beaucoup plus belle en ayant un sourire sur son visage.

Il se rendit compte de sa gaffe en venant de prononcer ses mots. Féfé, de son surnom grâce aux enfants, se leva alors du canapé et alla chercher quelques mouchoirs avant de les tendrent à la jeune gouvernante.

Carlos, tu sais très bien que tu ne peux pas le révéler ainsi à ta nièce. Tu sais très bien dans quel état elle sera quand elle découvrira la vérité.

Et tu veux que je fasse quoi ? Que je lui mente sur sa vraie nature ? Eduardo m'a confié que je devais lui en informer, je dois le faire... Mais, comment m'y prendre ? Je n'en sais rien et ça me fait peur.

Je t'assure qu'elle aura beaucoup de mal quand elle le saura mais elle lui pardonnera...

Je souhaite savoir la pure vérité de mon véritable papa mais... pour le moment... je... je ne suis pas prête... Pas prête à entamer une discussion avec Tina... ou même mon oncle... enfin Carlos...

Promets moi de ne le dire à personne. Garde tout ça pour moi, fais en moi la promesse...

Ton compliment m'a touché... C'est juste dommage que tu ne me le dis que lorsqu'on est que tout les deux...

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Quand elle eut pris les mouchoirs, Fédérico ne mit ensuite contre son bureau, croisant ses bras. Il la regarda un long moment, avant qu'un sourire sincère vint se former sur celui-ci.

- Je te le promets, ne t'inquiètes pas. Mais un conseil ... N'attends pas très longtemps pour le retrouver et savoir la vérité. Je sais qie c'est dur, mais, on sais pas ce que l'avenir peut nous réserver.

Car oui, tout pouvait changer d'un moment à l'autre. Enfin, du moins il ne l'éspérait pas, ou bien si quelque chose devait changer dans sa vie ou dans les vie des personnes à qui il tenait, il préférait que celà change en mieu. Je crois que c'est un peu ce que tout le monde souhaite, que les mauvaises choses puissent changer en quelque chose de meilleur. Mais malheureusement, Féférido, avait appris depuis quelques temps qu'on ne pouvait pas avoir toujours ce qu'on le souhaitait le plus, ou bien quand on le voulait, il fallait se battre pour ça. Mais il s'était déjà trop battu et n'avait plus de forces pour continuer. Alors il avait préféré baisser les bras et rester avec la vie dont il menait aujourd'hui, même si c'était pas la vie de ses rêves.

Il écouta ensuite attentivement les dernières paroles de la jeune femme, avant de passer une de ses mains sur sa nuque, la grattant doucement, signe qu'il était bel et bien gêné par la situation. C'est vrai que quand ils étaient les deux seuls, c'était bizare. Il y avait au fond de lui, deux Fédérico cachés. L'un qui était froid et arrogant et qui pouvait faire du mal en disant des choses avec ses proches et l'autre qui pouvait se tourner d'un coup doux comme un agneau. Sérieusement, il ne savait plus quoi faire pour choisir le bon. Parce que quand il était trop sévére, les enfants se plaignaient et quand il était trop attentionné, ils faisaient également la même chose.

- Tu voudrais que je fasse quoi? Que je le dise devant Delfina et Malala pour que par la suite ça parte en dispute? Ou bien devant les enfants qui se feraient un malin plaisir à aller tout raconter à Delfina ainsi que sa mère? Je peux pas me le permettre Flor. Et je te rapelles que tu es ma gouvernante, rien de plus, rien de moins.

Dit-il en se tournant face à son bureau, posant ensuite ses mains sur celui-ci et fermant un instant ses yeux de couleur océan. Quesqu'il donnerait pour que tout puisse rentrer dans l'rdre. Pour revenir il y a quelques mois en arrière ou tout allait parfaitement bien.

roule des yeux

J'irai directement chez Tina et lui demander où se trouve Eduardo. Elle doit le savoir mieux que moi

Evidemment que non. Et puis, pourquoi le dire ? Tu ne vois pas que les résidents de cette maison essayent de nous mettre ensemble ? Ils ne sont pas dupe eux. Ils voient bien le jeu que joue les deux femmes. Ce que je veux, et j'avoue, je veux vivre l'amour que j'ai pour toi au grand jour.... Mais, d'un autre coté, je ne veux pas que tu ais encore plus de problèmes. Je laisse faire les choses et c'est mieux ainsi

Eum

faisait-elle en se raclant la gorge, paraissant plus calme et cessant de parler de ses petits problèmes

est ce que ça se passe bien avec Franco

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Au moins, c'était une chose de bien qu'elle puisse aller parler avec Tina sur le sujet de son bvrai père. Et puis, elle devait surement savoir quelque chose si elle avait parlé de ça à Eduardo. Du moins, c'était ce qu'il pensait. Mais Féfé, se sentait toujours autant mal avec cette histoire. Il aurait aimé lui dire qu'il était là pour elle et qu'il aimerait l'aider plus que tout au monde. Il aurait aimé la prendre dans ses bras et la réconforter pou qu'elle cesse d'être triste. Mais rien à faire, il était bien trop fier de lui et ne voulait en aucan cas continuer à se rapprocher de la jeune femme.

Quand elle commença à parler de leur amour,, Fritz ne put s'empecher de lever sa tête vers le plafond de son bureau, ouvrant légèrement ses yuex. Pourquoi devait-elle parler de ce sujet là? Ca leur faisait plus de mal qu'autre chose. Il n'avait jamais voulu tomber amoureux de sa belle gouvernante et encore moins lui faire du mal avec toute cette histoire qui se passait autour d'eux. Mais il le fallait bien, du moins, pour son bien et pour le bien de la famille. Il ne pouvait pas se permettre de laisser tomber Delfina alors qu'elle avait besoin de lui. Mais il ne pouvait pas non plus laisser la femme qu'il aimait soufrir par sa faute. Vous voyez pourquoi il se sent fatigué? Car non seulement il devait s'occuper de l'entreprise, mais en plus il devait s'occuper de sa famille, de son mariage qui approchait é grands pas et de Flor. Surtout d'elle. Même s'il ne le montrait pas, il voulait à tout prix l'aider à la faire sortir de tous ses problèmes. Mais malheureusement, il en rajoutait encore et encore et il s'en voulait vraiment.

-S'il te plait Flor, n'en rajoutes pas. Ca déjà assez dur pour nous comme ça.

Il alla se rassoir sur son fauteuil, fasse à son bureau qui était rempli de paperasse avant d'hausser un sourcil face à la question dont elle venait de poser. Pourquoi lui posait-elle cette question maintenant? Et puis, pour tout avouer, plus rien n'allait entre les deux frères. Du moins, depuis que Franco et Flor avaient commancé à sortir ensembles, Fédérico avait était en rage et jaloux. Ca aurait du être lui à la place de son frère et pas l'inverse. Et bien sur, depuis que Flor avait rompu avec celui-ci et lui avait dit qu'elle était amoureuse de Fédérico, je peux vous avouer qu'une violante dispute avait écclaté entre les deux frères. Mais c'était la vie, il y avait toujours des hauts et des bas et il était habitué maintenant. Et puis, l'amour ne se controle pas.

- Pas vraiment non. Mais c'est un autre sujet que j'aimerais ne pas entamer.

Très bien, je n'en reparlerai plus

C'est marrant. Nous n'avons jamais de sujet de conversation qui ne soit pas en rapport avec ta famille

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Quesqu'elle voulait qu'il lui dise? Que tout allait mal avec Franco parce qu'il était jaloux du fait qu'ils soient sortis ensembles quelques temps or que c'était luqui était fou amoureux de Flor? Bien sur, il n'allait pas nier le fait que son frère devait sans doute avoir des sentiments très forts pour Florencia, mais ça ne devait être rien comparé à ceux de Fédérico. Depuis le simple premier regard qu'il avait posé sur la jeune femme, il avait ressentit quelque chose d'inexplicable en lui. Une forte sensation de frissons en lui ainsi qu'une décharge électrique lorsqu'ils s'étaient serrés la main pour la première fois. Et encore aujourd'hui il arrivait à ressentir tout ça mais de plus en plus fort. Car chaque jour son amour pour la jeune gouvernante augmentait au fur et à mesure que les secondes passaient. Et je peux vous dire que ça lui faisait un mal de chien de savoir que jamais rien ne pourrait être possible entre les deux. Il savait qu'elle aussi avait les mêmes sentiments à son égard mais voilà, la vie devait compliquer les choses.

- Alors allons-y, parlons de ma famille vu que tu y tiens autant!

Ca y est, le Fédérico froid avait refait surface. Il savait très bien que ce changement d'atitude, Flor en avait horreur, mais c'était plus fort que lui. C'était un peu comme une carapace qu'il s'était fait en lui pour se protéger. De quoi? Bonne question, mais il était sur qu'il devait se protéger de cette façon-là de quelque chose. Même si au fond, il savait qu'il faisait du mal aux personnes qu'il aimait, surtout aux enfants et à la femme qu'il aimait. Bien sur que quelque chose pouvait le changer, d'ailleurs, elle était déjà arrivé dans sa vie, mais c'était difficile tout ça.

Alors, allons-y, parlons de ma famille vu que tu y tiens autant

Ca alors, j'arrive pas à le croire. Mais, je ne veux pas parler de ta famille. Tu sais déjà tout ce que je pense de ta famille. Tu veux que je le redise ? Que je me répéte ? Je peux très bien le faire. Est ce que tu m'as entendu dire que je voulais qu'on parle de ta famille ? Non, alors, s'il te plait, ne dit pas quelque chose que tu n'as pas entendu ou que tu croyais comprendre.

Je vais me faire quelque chose à manger. Greta s'est sans doute occupée du petit déjeuner

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En la voyant partir, Fédérico donna un violent coup sur son bureau, faisant tomber une pile de feuilles à terre. A vrai dire, il avait plutôt envie de tout casser à cet instant même. Ca le révoltait qu'à chaque fois qu'il se trouvait seul avec Flor, ils devaient toujours finir en dispute. Pour une suele fois, il ne demandait qu'à avoir une simple discution avec el oo tout se passerait bien, oui ils pouraient rigoler et sourire sans se soucier d'autres choses. Mais cette pensée-là ne se trouvait être qu'un simple rêve. Tout comme son rêve d'être tout le temps avec elle, de pouvoir la toucher, de caresser ses fines lèvres et de les gouter, de sentir son parfum naturel, de caresser ses doux cheveux, sa douce peau ... Mais ça ne pouvait être possible que dans ses rêves les plus fous. Cétait d'ailleurs pourquoi il adorait tant quand il allait au lit. Car de un, personne ne pouvait l'embeter, de deux, le travail était fini et de trois, ils pouvait rêver de sa belle princesse et rentrer dans son monde ou juste lui et elle n'avaient plus de limites.

Finallement, après tout ça, il se releva de son bureau, attrapa les quelques feuilles qui étaient tombées et les reposa sur son bureau. Il repris place ddans son siège et à son plus grand malheur, du chasser Florencia de sa tête pour se remettre en plein travail. D'ailleurs, c'était la seule chose dont il savait réellement faire, travailler et encore travailler, Et puis ça lui permettait de ne plus penser à ses melheurs.

* Je me demande tout de même ce que contient cette lettre. Je me doute qu'il y ait des informations fausses mais qui influenceront Fédérico... Je sais que je ne dois pas m'en mêler mais j'y peux rien de m'inquiéter. Ca concerne Don Freezer tout de même *