Les petits monstres nous attendent {Flor}

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« Je te promets mes bras pour porter tes angoisses.
Je te promets mes mains pour que tu les embrasses.
Je te promets mes yeux si tu ne peux plus voir.
Je te promets d'être heureuse, si tu n'as plus d'espoir.
.»

SONG - QUOTE = Johnny Hallyday - Je te promets

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FORUM GOODBYE

Après cette matinée riche en émotions entre le début qui avait commencé en cris et la fin qui s'était terminée en baisers, c'était presque comme une montagne russe avec les deux jeunes gens. Mais voilà, ils s'aimaient et ça, ils ne pouvaient le nier malheureusement.

Comme l'avait dit Erich Fromm ''Si nous voulons apprendre comment aimer, nous devons procéder de la même manière que pour apprendre n'importe quel autre art, à savoir la musique, la peinture, la charpenterie, ou l'art de la médecine ou de la mécanique.'' Sauf que Fédérico n'avait pas appris à aimer, ça lui était tombé d'un seul coup sans qu'on ne lui demande rien. Jamais il n'avait ressentit un sentiment aussi fort envers quelqu'un. Juste cette sensation qu'il avait quand elle se trouvait loin de lui, voulait tout dire. Mais à présent, il avait appris à vivre avec cet amour caché au plus profond de lui, ou seul Florencia savait réellement le combien il pouvait être fou d'elle. Quoi que ... Il ne lui montrait pas assez parfois et c'était pas par des gestes ou des paroles qu'il pouvait réellement lui montrer l'explosion qui se trouvait à l'intérieur de lui quand elle était à ses côtés.

Enfin bref, tout ça pour dire que l'amour n'est pas ce qu'il y a de plus simple. C'était même presque une égnime qu'il fallait déchiffrer, mais de quelle manière? C'était ça la question ...

Il était à présent 13h21 et Fédérico se trouvait dans la cuisine, mangeant un petit quelque chose avant d'aller enmenner Florencia chercher la robe et par la suite passer prendre les enfants à leur école. Quand il eut enfin finit, il sortit de la cuisjne et chercha du regard Flor. Elle devait surement être dans sa chambre pour se préparer.

-Flor je t'attends dehors dans la voiture!

Cria-t'il assez haut pour que la demoiselle puisse l'entendre. Finallement, il sortit de la maison après avoir pris les clés de sa voiture puis alla en direction du garage ou il une porte automatique s'ouvrit pour laisser place à une magnifique Audi Q7 blanche, flambant neuve. Le jeune homme monta à l'intérieur et mis la clé dans le contact ou un doux bruit se fit entendre. Il ouvrit ensuite la fenêtre pour laisser passer un peu d'air dans le véhicul puis finallement roula jusqu'à l'entrée de la maison ou il attendit que la jeune gouvernante arrive. [/list]

Tu es vraiment incroyable. Regarde avant de parler.

Tu sais, je pense que c'est grâce à tes pouvoirs que j'ai pu avoir les petits moments que j'ai eu avec Fédérico. Peut être que cela ne va pas se reproduire avant longtemps mais ses souvenirs resteront en moi et en toi, c'est le plus beau cadeau du monde... Seulement, j'aurai aimé dire ça à maman. Je sais qu'elle me regarde, je sais que tu me regardes maman de là où tu es mais te le dire en face, ce serait bien meilleur....

Pas de panique. Tu peux bien trainer, elle ne mourra pas sa robe.

Si nous sommes en retard pour la robe de la sorcière, ce n'est rien. Pas vrai ?

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{Sorry :S}

Fédérico commençait petit à petit à s'impatienter. Il alluma alors la radio et face à la mélodie qui s'enchainnait, il commença doucement à tapper du bout des doigts sur le volant de sa voiture. Cinq minutes, dix minuques et ainsi de suite et Flor n'était toujours pas là ... Les femmes je vous jure! Elles prennent une éternité pour se préparer or qu'elles n'ont vraiment pas besoin de le faire.

Il laissa doucement sa tête partir en arrière contre le dossier de son fauteuil puis ferma un instat les yeux, laissant une légère brise venir caresser son visage et faire virevolter quelques uns de ses cheveux bruns qui étaient en bataille comme la plupart du temps, apars b ien sur pour les grandes soirées ou quand il recevait des gens de haute société chez lui, là c'était totallement différent, il devait être présentable et c'était ce qu'il faisait la plupart du temps.

Finallement après de longues monutes d'attente, il entendit la portière de son côté droite s'ouvrir et quelqu'un rentrer à l'intérieur de la voiture. Fritz ouvrit alors ses yeux azurs pour venir ensuite les reposer sur cette personne qui venait de prendre place dans le véhicule. Il remarqua enfin une fine silhouette qui n'était d'autre celle que de Florencia. D'un seul coup, il sentit son coeur s'embaler comme toutes les fois ou il la voyait ne serait-ce qu'une fraction de seconde.

- Et bien, il vaudrait mieu pour toi ne pas l'être ...

Il souria doucement puis remis la voiture en marche après avoir appuyé sur l'accélérateur ainsi que l'embrayage. Il referma ensuite la fenêtre de son côté conducteur puis il alla en direction de la route principale qui ménerait en direction du centre ville de Barcelone. Pendant le trajet, il enleva quelques secondes son regard de la route pour le reposer sur la belle brunette à ses côtés.

-Pourquoi avoir pris tant de temps?

[ Ce n'est pas en rapport avec toi xD Mais avec moi mdr. Je vais rajouter, à ma réponse, une petite intro comme toi =) ]

FEDERICO - Et bien, il vaudrait mieux pour toi ne pas l'être...
FLORENCIA - Oh, ce ne sera pas la mer à boire. C'est rien si je suis en retard de cinq minutes et on arrivera surement pile poil à temps.

Je continuerai à dire que Florencia se fiche totalement si Delfina piquera une crise ou non. De toute manière, elle ne verra sa robe qu'à 16h00 et pas avant, elle pouvait avoir du temps mais il est vrai qu'elle devait la chercher à 14h00 et si elle était en retard de cinq minutes, ce n'était rien. La personne qui devait l'attendre n'allait pas rester comme une idiote derrière son comptoir, c'est absurde mais bref, là n'était pas le sujet.

Elle venait tout juste d'entrer à l'intérieur du véhicule. Fermant la portière, elle s'installait confortablement sur le siège passager. Elle sourit au jeune homme, prenant le soin de bien s'arranger histoire d'ennuyer le jeune homme.

Je peux vous dire que là, Florencia mettait de coté le fait qu'ils avaient eu des moments agréables. Là, la gouvernante prit la place de l'amoureuse même si Florencia avait envie de passer une nuit entière avec lui, d'avoir des moments agréables avec les enfants en rentrant à la maison. Elle ne souhaitait que ça.

Fédérico mit le moteur en marche après avoir fait des gestes que Florencia décidait de laisser aux hommes. Elle et les voitures ça fait deux. Allant en direction du centre ville de Barcelone, il vint prendre la parole, Florencia s'amusant avec sa ceinture de sécurité après l'avoir mise.

FEDERICO - Pourquoi avoir pris tant de temps ?

FLORENCIA - Tu connais les femmes non ? Elles prennent toujours le temps de se pouponner même si ce n'est que pour chercher des enfants à leur école... Mais, franchement, puisque ce n'est pas dans mes habitudes, je m'étais assoupie... Quand je t'ai entendu criée, je me suis levée en sursaut et j'ai fait du mieux que je pouvais pour vite venir. Mes cheveux étaient dans un état, je devais y remédier...

Terminait-elle en lui souriant franchement, reposant son regard sur la route.

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La problème c'est que si elle arrivait en retard, les employés du magasin, qui au passage n'était autre que Dior, un grand magasin de marque, n'allaient pas se gêner pour aller tout raporter à Delfina sur le fait que leur ''employé domestique'' comme elles avaient l'habitude de si bien apeller gentillement, étaient en retard. Et par la suite, Delfina n'allait pas non plus se gêner de critiquer Florencia, chose dont Fédérico ne voulait pas, il l'avait déjà assez entendue avec ses propos, alors si en plus elle s'y prennait à Flor, ça allait pas aller.

Par la suite, il reposa une nouvelle fois son regard sur la route, mettant le clignotant de gauche en marche pour dépasser une voiture et l'arrêtant par la suite, continuant tout droit. Il écouta le petit discours de la jeune fmme sur le fait du pourquoi elle était en retard. Féfé souria légèrement amusé, quesque je vous disais, les femmes! Il pris alors la parole, tout en étant très concentré sur la route.

-Si tu le dis ... Mais je suis sur que même si tes cheveux étaient dans un étât déplorable comme tu le dis, tu devais tout de même être très jolie. Et de toute façon, t'as pas besoin de te pouponner pour être parfaite.

Attention! C'était pas tous les jours que Fédérico était en mode ''Douces paroles et compliments'' alors autant en profiter!

Il appuya sur la pédale de freinage pour s'arrêter à un feu rouge et attendit que celui-ci change. Il en profita tout de même pour détourner quelques secondes son regard océanique de la route pour le reposer sur la jeune femme qui se trouvait à ses côtés et de la contempler quelques instants avant d'être sortit de ses pensées par la voiture de derrière qui le claxonnait parce que le feu était tourné du rouge au vert. Fédérico fit un signe de la main, non pas celui que vous croyez xD mais pour s'excuser au chaffeur de derrière puis il repris sa route.

Pour se montrer professionnel, elle devait faire, tout de même, abstraction de ses réticences et faire comme si elle aimait rendre des services à Delfina, alors que ce n'est pas le cas. Elle devait tout simplement faire avec et tout simplement.

Je vous jure pourquoi chercher une tenue dans un grand magasin de marques tel que Dior ? Elle ne pensait qu'à avoir de l'argent et que ce soit Fédérico qui paye tout. Elle n'était pas dupe mais tout de même, elle pouvait bien commander une robe chez quelqu'un d'autre mais bon, elle n'allait pas en faire toute une histoire, d'autant plus que ce n'est pas dans ses attentions.

Posant doucement sa tête contre la vitrine, elle soufflait un peu sur la fenêtre, une buée vint se former et elle vint dessiner un petit coeur, suivi d'un autre brisé. C'était son sentiment avec ce qu'elle vivait... Pas qu'avec l'amour qu'elle a pour Fédérico mais pour un tas de choses... Brisé à cause de son faux père, par exemple...

FEDERICO - Si tu le dis ... Mais je suis sur que même si tes cheveux étaient dans un état déplorable comme tu le dis, tu devais tout de même être très jolie. Et de toute façon, t'as pas besoin de te pouponner pour être parfaite.

Florencia tournait son visage vers le jeune homme en rigolant presque.

FLORENCIA - Oh mais c'est que Don Freezer emploie des mots très doux... Il ne faudrait pas que vous en utilisiez trop souvent sinon je risque d'en vouloir encore plus...

Allez, elle peut bien faire un halte au " règlement " non ? Elle donna vite fait un baiser sur la joue du jeune homme, ni vu ni connu.

FLORENCIA - Merci en tout cas, ça m'a fait plaisir un tel compliment, Fédérico mais je te dis que tu ne m'as jamais vu quand je me lève... sauf si tu m'espionnes et là je serais forcé d'appeler les forces de l'ordre...

Oh mais elle déconnait, il ne faut pas la croire sur toute la ligne. Elle reposait son regard sur la route où le feu était finalement passé au vert. Reprenant sa route, elle voyait presque le magasin de marques. Elle allait entrer et sortir directement avec cette robe.. Elle le mettra dans le coffre et non sur la banquette arrière, surtout avec l'arrivée imminente des enfants.

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Face aux derniers mots de la jeune femme, il ne pris pas la peine de répondre ou bien plutôt la réponse qu'il donna fut un petit toussottement. Et oui, vous croyez quoi? Il n'allait pas se gêner de voir la jeune femme dormir le matin, même s'il devait faire attention car elle ne dormait pas seule dans la chambre. Et oui, la petite dormait avec elle et il avait toujours cette peur en lui qu'elle le surprenne espionnant Florencia.

Enfin bref ... Il mit une deusième fois le clignotant mais cette fois-ci vers la droite pour prendre la plce de parc réservée aux personnes du magasin. Quand il eut enfin garé l'Audi blanche, il coupa le contact mais laissa tout de même la radio tourner puis il tourna doucement son regard vers Flor en souriant.

-Vas-y ... Je t'attends ici ...

Il la regarda alors partir, un sourire aux lèvres puis Fédérico réouvrit la vitre de son côté pour laisser une nouvelle fois l'air passer. Il posa ensuite son coude contre le bord de la vitre et avec l'aide de son index il commença doucement à caresser sa lèvre inférieure tout en continuant de regarder Flor qui rentrait en ce moment même dans la boutique d'haute couture.

Il ne pouvait cesser de la regarder, mais du tout e même détourner un oment son regard car le portier le regardait d'un mauvais oeil, or qu'il était venu il y a pas bien longtemps en compagnie de Delfina pour que celle-ci choisisse la robe et que c'était ce même portier-là qui les avaient ouvert la porte.

Attends, tu es en train de me dire que tu m'observes le matin ? Que tu m'as déjà vu avec les cheveux en bataille ? Alors là, c'est honteux...

Je fais vite.

Bonjour. Je suis venue chercher la robe de Mademoiselle Torres, s'il vous plait.

C'est exact. Patientez un instant, je vous prie.

Une bonne chose de faite

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Quoi? Pourquoi elle aurait le droit de le regarder entrain de dormir alors qu'il ne pouvait pas hein? Il ne se gênait donc pas pour le faire et puis elle était tellement naturelle en dormant. Non pas qu'elle ne l'était plus quand elle était réveillée, loin de là même, mais on aurait dit un bel ange qui se reposait ... C'était le mot exact, elle était un nage tombée du ciel pour Fédérico et ça à la seconde ou il avait posé son regard sur elle.

Le jeune homme était dans ses pensées avant d'en être vite ressortit par qelqu'un qui tappait à la vitre du côté passager. C'était bien évidemment Flor qui lui faisait signe d'ouvrit le coffre. ce que Fédérico fit sans attendre. Quelques secondes plus tard, il vit la jeune femme prendre place à ses côtés et remettant la ceinture de sécurité.

-Maintenant, les petits monstres!

Il sentit Florencia lui donner un coup sur l'épaule avec sa main puis Féfé rigola doucement, remetant la grosse voiture de nouveau en marche. Il tourna le volant vers la gauche tout en mettant à nouveau le clignotant vers la gauche égallement puis il repris la route, il tourna ensuite dans le rond point et pris le sens inverse pour se diriger en direction de l'école ou les enfants se trouvaient.

Pemdant tout le trajet, un long silence régnat, juste le son de la musique qui sortait de la radio se faisait entendre dans la véhicule ainsi que la respiration des deux amants.

" Maintenant les petits monstres "... Comment il pouvait dire ça de ses adorables enfants ? Florencia les aimait tellement que les appeler monstres, ça parait exagérer mais elle admettait qu'ils pouvaient être de véritables monstres surtout en présence de Delfina et de Malala, enfin avec des personnes qu'ils n'aimaient pas. Suite à cette petite phrase, la jeune gouvernante avait donné un léger coup de coude au jeune homme avec une petite tête mais avec un petit sourire en coin.

Ils quittèrent le grand magasin de couture pour se diriger vers l'école des enfants. Sur le chemin, seule la musique se faisait entendre alors que les deux amoureux ne disaient rien pour briser le silence. Florencia avait cru que le temps passait lentement jusqu'à ce que le jeune homme vienne la sortir de sa torpeur et dire qu'ils étaient arrivés. Il n'allait pas le redire deux fois puisque Florencia avait retiré assez rapidement sa ceinture de sécurité pour ensuite sortir du véhicule. Elle était ravie de pouvoir enfin les voir. Ils lui avaient manqués... Allant presque en courant sur le trottoir, elle attendit avec impatience que Fédérico sort de la voiture.

FLORENCIA - * Allez, Fédérico, plus vite. La sonnerie est en train de retentir *

Il pouvait vraiment l'agacer. Enfin, il sortit du véhicule après avoir coupé le moteur. Fermant son Audi, ils se dirigèrent vers l'entrée de l'école faisant comme si ils n'étaient pas amoureux mais on pouvait sentir qu'ils essayaient de ne pas se tenir la main, et oui, les amoureux réagissaient ainsi comme si c'était une habitude....

Se postant devant l'entrée de l'école, les enfants virent directement le visage radieux de la jeune gouvernante et le visage pas vraiment froid de Fédérico. Ils se dirigèrent à la hâte vers eux, sautant presque dans les bras de l'un et de l'autre. Souriante, elle frottait les cheveux de son Tomas.

FLORENCIA - C'est un cas d'exception. Vous ne me verrez pas souvent venir vous chercher avec Don Freezer.

ROBERTA - Oh mais c'est dommage, vous êtes tellement mignons tout les deux., disait elle en faisant un doux regard aux deux adultes avant de rire....

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Fédérico prennait bien sur tout son temps pour sortir de la voiture juste pour voir l'air agacé de la jeune femme qui le faisait bien amusé. Finallement il sorti de son 4x4 et referma toutes les portières pour ensuite aller vers Flor. Il n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit, que Roberta avait sauta dans ses brasm le serrant fortement.

-Hé petit chipouille!

Il écouta ensuite les propos de la jeune demoiselle et Fritz leva doucement son regard vers Florencia en souriant avant de le reposer sur la jeune fille qui le tenait encore fortement dans ses bras.

-Peut être bien mais vous vous faites des histoires.
- Ah oui? Alors pourquoi l'autre jour t'arrêtais pas de regarder Flor pendant tout le long du souper à table?!

Dit-elle en croisant ses bras, esseyant de faire un visage sévère et tappant furtivement du pied.

-Je ... Moi?! Mais non ... Et puis c'est quoi cete conversation d'abord?! Bon ... Est-ce que ça a été l'école?

Les enfants répondirent tous positivement par la tête, trop occupés à voir le couple. Fédérico soupira un instant puis il tappa dans ses mains, comme pour faire chasser les enfants de leur pensées, ce qui aida un peu.

- A qui ça tenterai d'aller manger un glace?

Florencia avait posé sa main devant sa bouche sous le regard enjoué des enfants. Elle essayait de contenir son rire, tout en ayant tourné son regard vers Fédérico avec un sourire, reposant son regard sur les enfants.

FEDERICO - Peut être bien mais vous vous faites des histoires.
ROBERTA - Ah oui? Alors pourquoi l'autre jour t'arrêtais pas de regarder Flor pendant tout le long du souper à table?!

Florencia essayait vraiment de ne pas rire. A son âge, elle avait une vue et elle comprenait parfaitement bien toutes sortes de situations. Ça ne faisait qu'amuser la jeune gouvernante mais elle ne disait rien pour ne pas en rajouter. Aussi, elle était assez complice avec les enfants et donc, elle avait senti que Roberta allait dire quelque chose du genre.

TOMAS - Mon oeil, oui. Tu penses qu'on ne voit rien ? On est pas aveugle tu sais.

FEDERICO - Je ... Moi?! Mais non ... Et puis c'est quoi cette conversation d'abord?! Bon ... Est-ce que ça a été l'école?

Florencia finit par lâcher un rire. Ils la faisaient rire à son plus grand malheur. Ce n'est pas tout les jours que Fédérico balbutiait et se montrait gêné. Les enfants affirmèrent que tout s'est bien passé à l'école mais ces derniers continuaient de les regarder... Le jeune homme vint les sortir de leurs pensées, leur demandant s'ils voulaient manger une glace.

EN CHOEUR - Moi, moi , MOIIIII !!!

FLORENCIA - Vous m'avez l'air très enthousiates les enfants. Très bien, c'est parti pour une tournée de glace mais...

Une nouvelle fois tous en choeur...

EN CHOEUR - C'est Fédé qui paie...

Florencia eut un sourire amusé. Elle ne pensait pas à ça mais bon. Elle tourna son regard vers le jeune homme qui hallucinait.

FLORENCIA - Les enfants, je voulais dire qu'après avoir terminé de manger votre glace, qu'une fois à la maison, vous faites vos devoirs et que vous restiez calme.

Les enfants dirent un : Ohh... sous le regard enjoué des deux amants.

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Ah mais c'était gentil ça! De dire que c'était lui qui allait payer. Bien sur, c'était son obligation de toute façon, mais tout de même, ça se disait pas ça. M'enfin, c'était des enfants et il savait très bien qu'ils disaient ça pour rigoler. Quoi que parfois ...

Enfin bref passons ... Le jeune homme souria légèrement amusé face aux mots des enfants puis il écouta Flor. C'est vrai, il ne fallait surtout pas oublier les devoirs par la suite. Et pour ce qui était du calme, ça allait être un peu difficile vu comment les enfants étaient surexités à cause de la venue de Fédérico ainsi que de Flor venant les chercher à l'école. C'était pas tous les jours que ça arrivait et encore moins qu'il était d'aussi bonne humeur. Il aurait aimé faire ça tous les jours, mais il ne pouvait pas se permettre. Vous allez encore vous dire, le boulot! Et oui, c'était bel et bien le boulot et puis, il n'arriverait pas à être de très bonne humeur très longtemps à cause de cette carapace qu'ils s'était crée.

- Flor a raison ... Il ne faut surtout pas oublier de travailler! Mais bon, on y va maintenant ...

Dit-il en se tappant une nouvele fois dans les mains. Les enfants courèrent jusqu'à l'Audi blanche de Fédérico et celui-ci s'approcha à son tour avec la jeune gouvernante à ses côtés. Il dévérouilla les portières du véhicule avec l'aide de sa clé automatique puis les enfants rentrèrent, se mettant tous à l'arrière. Fédérico monta à son tour, mais prennant le côté conducteur bien évidemment. Il se tourna pour voir si tout le monde était là.

- Tomas! Mets ta ceinture de sécurité!

- Je sais ... Mais toi non plus tu l'as pas mise!

- C'est pas une raison et puis je m'apprettais justement à la mettre vois-tu?

Et ce fut ce qu'il fit de suite. Il regarda une nouvelle fois les enfants et vit que tout était en ordre. Le beau brun regarda ensuite Flor, lui envoyant un doux sourire. Maintenant leur moment à eux étaient malheureusement finis ...

Citation :: FEDERICO - Tomas ! Mets ta ceinture de sécurité !
TOMAS - Je sais... Mais toi non plus tu l'as pas mise !
FEDERICO - C'est pas une raison et puis je m'apprêtais justement à la mettre vois-tu ?

Non mais je te jure, t'en rate pas une toi.

Bah quoi ?

Mets ta ceinture et qu'on en reparle plus.

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A la base il était censé être le chef de la famille, donc donner l'éducation aux enfants, mais jusqu'à maintenant, il n'avait jamais réussi à être un bon chef de famille, les enfants voyant encore Fédérico tant qu'un simple frère et pas autre chose. Prennez exemple maintenant, avec la conduite de Tomas qui n'avait pas mis sa ceinture de sécurité. Bien sur, il ne l'avait pas écouté et si Flor n'aurait pas été là, il aurait sans doute commencé à crier auprès de lui, pensant que ça aurait pu être le seul moyen. Voilà pourquoi tout le monde le voyait d'un mauvais oeil et que parfois même ça finissait en cri et en pleurs. Il y pouvait rien, au contraire, il pensait bien faire, même si au fond de lui, il savait que ce n'était pas cette méthode là que sa mère ou son père auraient pris. Mais il voulait juste sembler parfait et rien de plus, alors qu'en réalité, il faisait bétises sur bétises.

Enfin bref, au moins cette fois-ci c'était pas terminé en cris comme la plupart du temps. Il sortit alors de la place de parc ou il s'était garé et repris la route principale pour ensuite aller en direction du parc de la ville ou là il était sur de trouver un marchand de glaces. Pendant tout le trajet, il eut le sourire aux lèvres en entandant la joie qui rêgnait dans le véhicule. Il jettait parfois quelques coups d'oeils sur le rétroviseur pour voir les enfants danser et chanter et de temps en temps il ne se gênait pas pour regarder quelques fois la belle brune qui se trouvait à ses côtés égallement. A tel point que Roberta lui fit sortir de ses rêves.

- Fédérico! Regarde la route!

Ni une ni deux, le beau brun aux yeux azurs reposa son regard sur la route gêné. Fallait qu'il arrête de regarder si longuement Florencia si non, ils auraient encore un accident sur la route et c'était ce dont il souhait le moins. Après de longues minutes de conduite, il finit par rentrer dans un parking et y placa sa voiture avec délicatesse. Ba oui! Il ne pouvait pas voir une seule petite rayure! C'était tout de même son bébé cette Audi. Mais shuut! Ne dites rien à Florencia! Ils ressortirent tous de la voiture puis Fédérico se tourna vers les enfants qui étaient exités comme des puces.

- Partez devant, Flor et moi on vous rejoint tout de suite ...

Avant de partir en courant, Tomas ne se gêna pas pour ajouter quelques mots.

- Pas de bétises!

Vous, les mecs, c'est incroyable de voir à quel point vous êtes aussi douillet par des voitures que par des femmes. C'est hallucinant. N'est ce pas les filles ?

Tout à fait.

Ne vous éloignez pas trop, les enfants.

Tu veux me parler ?

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Non mais de quoi elle se melait par rapport à sa voiture? Peut être que les garçons prennaient soins de leur voiture mais il faut SURTOUT pas parler du nombres de chaussures ou de sacs qu'elles avaient, car si non, ils en auraient pour des heures à parler de ça. M'enfin ... Aue voulez-vous? Les filles sont toujours prêtes à critiquer les garçons. Mas des fois ils pouvaient être trop gentils ...

Enfin bref, on allait pas s'éterniser sur le sujet des voitures ainsi que des tonnes de vêtements que les filles pouvaient avoir dans leur garde-robe. Il laissa les enfants filler vers le marchand de glace habituel, car à ce qui parait, Greta et Flor les enmennaient presque toujours ici pour leur acheter des glaces, alors il n'allait pas changer les habitudes non?

Alors que les enfants venaient de partir, la jeune femme se tourna face au jeune homme lui demandant si il voulait lui parler. Fédérico mis ses mains dans les poches à l'avant de son Jeans et haussa doucement les épaules.

- Pas vraiment non ...

Sans qu'elle ne puisse ajouter autre chose, il la prise contre lui, la mettant ensuite de l'autre côté de la voiture, loin des regards des autres personnes. Il la fit doucement coller contre celle-ci, se mettant ensuite face à elle et posant sa main droite sur la vitre de son Audi. En l'espace de quelques secondes, il combla le vide qui se trouvait entre les deux amants et vint coller ses lèvres à celles de Florencia, l'embrassant avec la plus grande tendresse du monde. Quelques instants àprès, il décolla leur lèvres à contre coeur, mais resta tout de même assez prêt de la jeune brunette, sentant son souffle chaud venir attérir contre sa nuque.

- Depuis tout à l'ehure jamais une envie folle de faire ça ...

Nous, les femmes aimont nous mettre en valeur. C'est normal non ? Nous venons de Eve, une magnifique jeune femme alors hein, nous pouvons avoir diverses excuses. Il est vrai que niveau fringues, chaussures, sacs et autres, nous en avons des stocks et stocks mais les mecs.... Eux, ils pourraient bientôt prendre la place de la femme.

Bah oui, les mecs sont tellement douillets avec leur voiture qu'ils peuvent en oublier leur compagne et c'est prouvé scientifiquement... non je plaisante mais bref, parlons d'autres choses.

Greta et Florencia prenaient l'habitude de venir ici avec les enfants et de manger une glace, se promener, jouer dans une salle de jeux, faire des choses que les enfants aiment faire. Même si Greta n'avait pas l^'age de Florencia, elle aimait s'amuser. Florencia trouve en elle comme une mère, une épaule à qui elle peut se reposer et se confier. Greta est une personne extraordinaire, personne ne peut l'égaler.

Les enfants ont couru vers le marchand de glace. Il a très vite sympathiser avec eux ainsi qu'avec Greta et Florencia. La jeune gouvernante pouvait se rassurer, il pouvait garder un œil sur eux.

Se trouvant à présent seule avec le jeune homme, ce dernier lui avoua qu'il n'avait rien à lui dire... Mais que voulait il alors ? Ce fut par surprise qu'il vint la prendre contre lui, la mettant de l'autre coté de la voiture, à l'abri des regards indiscrets. La faisant doucement coller contre celle ci, il se mit face à la jeune femme, posant sa main droite sur la vitre de la voiture. Le cœur de la jeune femme battait à cent à l'heure. Ensuite, il vint poser ses lèvres contre celles de Floricienta, un baiser plus que tendre et amoureux. Décollant leurs lèvres respectives, la jeune femme soufflait doucement, posant délicatement sa main sur le torse du jeune homme puis elle vint poser son regard sur lui..

FLORENCIA - Tu me rends folle avec ce que tu fais.. Mais... penses-tu que c'est bien ce que nous faisons ? Les enfants sont ici...

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C'est vrai que Greta était vraiment quelqu'un de formidable. C'était une deusième mère pour lui et à présent il ne se voyait pas vivre sans qu'elle ne soit près de lui. Elle avait toujours travaillé dans la maison des Fritzenwalden et avait même vu Fédérico naitre, alors vous pouvez vous imaginer le nombre d'années qu'elle est au service de cette famille. Mais franchement, il n'avait jamais vu une femme aussi forte et courageuse qu'elle et aussi, il faut l'avouer, tétue, car quand elle avait quelque chose dans la tête, on ne pouvait pas la lui faire enlever. D'ailleurs, elle lui faisait parfois rapeller Florencia avec ses bétises. Mais ce qui comptait c'était qu'ils étaient une famille soudée et unie, même si Fédérico montrait le contraire depuis quelques temps. A vrai dire, depuis que Delfina et Malala étaient rentrées dans la vie du jeune homme, tout avait radicellement changé. Allez savoir pourquoi ...

C'était vrai que les enfants ne se trouvaient pas loin, mais Fédé adorait prendre des risques et tenter l'aventure et c'était justement ce qu'il faisait. Avec son autre main de libre, il vint la poser délicetement sur la joue de la jeune femme, caressant au passage avec l'aide de son pouce, les douces lèvres de celle-ci.

- Je le sais bien mais ... Si je ne t'aurais pas embrassé, je serais sans doute devenu complétement fou ...

Parfois, en plein milieu de la nuit, il se réveillait, ayant une envie folle d'embrasser la jeune femme. Il avait envie de se lever, d'aller ensuite la chercher dans sa chambre et de partir très loin pour qu'ils soient tous les deux. Et il allait sans doute faire ça un jour ... Surement en tout cas.

Tu as bien fait de le faire alors...

Nous devrions rejoindre les enfants avant que l'un d'eux nous surprenne....

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Fédérico profita d ece dernier baiser jusqu'au bout, esseyant de le prologer le plus longtemps possible. Mais bien sur, toutes les bonnes choses avaient une fin et donc, la jeune femme fut la première à retirer ses lèvres de celles du beau brun. Il garda tout de même encore un instant ses yeux fermés avant de les ouvrir petits à petits suite à ses dernières paroles.

- Tu as raison ...

Il posa un dernier baiser, non pas sur les lèvres de celle-ci, car si savait que si il les poseraient, il serait contraint de ne plus la lacher d'une seconde , mais plutôt sur le front de celle-ci. Finallement, le couple alla à la rencontre des enfants qui avaient déjà leur glaces entre leur mains. Fédérico souria en les voyant sir enthousiastes puis Tomas s'approcha d'eux.

- Dis Fédé ... On peux aller un moment jouer au parc?

Celui-ci regarda Flor qui lui faisait signe d'accepter alors Fédérico hocha positivement la tête tout en ébouriffant les cheveux de son frangin. Les enfants repartirent en courant vers le parc de jeux, se battant pour voir qui allaient avoir en premier la balancoire.

Le chef de famille se tourna ensuite vers le glacier et sortit deux billets de 20 € de sa poche puis avant de les tendre au glacier, il se tourna son regard vers Florencia.

- Tu veux une glace aussi?

Ils sont tellement adorables. Espérons que mes propres enfants le seront aussi.

Je n'arrive pas à y croire. Un gentleman ne demande pas si elle veut quelque chose ou non, il achète sans discuter... Pourquoi tu ne prends pas exemple hein ? Et oui, je veux une glace à la vanille.

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En entendant ses mots, ils ecarquilla les yeux. Déjà il était bien gentil de lui proposer une glace, deusièmement, il n'était pas sur si elle en voulait une, alors si c'était pour acheter une glace et que par la suite elle ne voulait pas, il allait ps paraitre con et puis tercio, c'était un moyen de savoir à quel saveur elle voulait.

Quand il faisait quelque chose de mauvais, il se faisait engeuler et quand il croyait faire des bonnes choses, il se faisait égallement engeuler. La prochaine fois il se tairait, c'était mieu. Finallement, Fédérico commanda la glace de mademoiselle au glacier qui d'ailleurs n'arrêtait pas de faire les yeux doux à Florencia. A quoi il jouait là?!

- Mhh ...

Finallement, le glacier se réveilla et tendit la glace à la vanille non pas à Fédérico mais à Flor.

- Tenez votre glace jolie demoiselle.

Fritz fronça les sourcils. Hé oh! Il était là lui aussi hein! Il ne se gêna donc pas d'envoyer un regard bien noir au vendeur lui donnant un billet de 20 euros presque en le jettant dessus. Finallement, il lacha quelques mots froidement.

- Gardez la monnaie ...

Voilà, vous aviez devant vous un Fédérico plus que jaloux. Mais vous vouliez qu'il fasse quoi? Qu'il reste calme face à des situations pareilles? Il fallait être fou pour faire ça!
Finallement, il tourna le dos aux deux jeunes, car oui le marchand de glace était assez jeune et remis ses mains dans les poches de son Jeans.

Il est bizarre, je l'avoue. Mais, ne réagit pas trop comme ça... C'est normal, surement, mais si des personnes que tu connais te voie ainsi avec ta gouvernante... Je n'ai pas envie qu'on est des problèmes alors que avec les problèmes, on a notre dose...

Pense aux enfants. Ils se poseront un max de questions en te voyant ainsi... Et j'aime pas te voir dans un tel état...à cause d'un stupide garçon en plus...

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Même si elle disait tout ça, il s'en fichait. Il était vert ou rouge comme vous voulez, de jalousie de savoir que d'autres garçons la regardaient ainsi. Et il ne voulaient même pas s'imaginer les arrière-pensées de ces vicieux. Juste d'y penser, ça lui donnait des frissons dans l'entièreté de son corps. Elle était à lui et elle l'appartenait et personne n'avait le droit de la toucher apars lui! Enfin, c'était peut être hegxagéré, mais il l'aimait vraiment comme un fou et il ne pouvait pas se permettre que quelqu'un puisse la voir de cette façon alors qu'il se trouvait à ses côtés.

Voilà, la journée était à nouveau gachée et à cause de quoi? De la foutue humeur de Fédérico qui changeait toutes les trentes secondes. Il y a quelques minutes en arrière, ils s'embrassaient et là, il avait plutôt envie de lui gueler dessus, même si il savait qu'elle n'était pas fautive dans cette histoire.

Finallement, Fédé retira sa main de celle de Florencia et s'approcha du parc pour appeller les enfants. Quand il fut assez prêt, il cria, tout en cherchant les clés de sa voiture dans les poches de son Jeans.

- Assez joué, on rentre!

Les enfants protéstèrent, mais Fédérico fit le genre de regard qui leur faisait tout de suite taire. Il alla ensuite en direction du parking, tandis que les enfants allaient vers Florencia, lui demandant ce qui se passait et surtout d'esseyer de faire convraincre Fritz de rester encore un moment.